Critiques
Bulletin association
« Peintres en Vallée de Chevreuse »
Juin 2018
« Pascal Laurent est un artiste multiple manipulant les techniques les plus variées, il jongle entre les supports d’expression : acrylique, pastel, gouache et la couleur est omniprésente dans ses œuvres. Ses sujets sont issus du jour présent tel qu’il ressent et il l’exprime en disant « le sujet n’est pas le tableau, le sujet est le prétexte et non la finalité » ».« Nombreuses participations à des expositions collectives de 1991 à 2016 et plusieurs expositions personnelles entre 1997 et 2016 ».« Pascal est un très bon dessinateur il aime aussi les couleurs vives et pures. Il y a de l’expressionnisme dans ses compositions mais aussi une vibration une tendance fauviste dans sa démarche ».
Galerie « Atelier de Grégoire » Puteaux (92)
Mai 2016
« Pascal Laurent est un artiste multiple. Il sait créer des atmosphères particulières avec les techniques les plus variées.
Au premier regard, Pascal se révèle comme un impressionniste ; par petites touches de peinture multicolores, il nous emmène dans ses landes embrumées.
Mais il peut également intégrer des éléments cartonnés pour donner un relief original à ses œuvres.
Lorsqu’il dessine au pastel son travail redevient plus figuratif.
Enfin, il est un portraitiste très atypique.
Nous pensons à des influences diverses, mais non… c’est du Pascal Laurent. »
Grégoire PIGOUNIDES « Atelier de Grégoire »
Sur le blog : MAIN TENANT «Portrait Pascal Laurent»
Décembre 2013
Il expose à Chilly-Mazarin, dans les locaux de la MJC-Centre social, foyer et couloir, rue Pierre Mendès-France, et dans les locaux de Tissage et Tradition, rue Verte. Pascal Laurent met des couleurs sur des toiles. Ce qui semble surtout une variation sur les techniques prend un tour particulier quand il s’agit de portraits, d’autoportraits. Ici, je pense au travail de Denis Donikian, et ses accumulations de figurines de soldats, et de Jean-François Donati, et ses canettes de soda écrasées, on dirait la terre. Là, les collages, les effets de bleu, de couleurs vives, une façon de toujours réinterpréter son propre visage, d’y chercher soit à cacher, soit à montrer, car la peinture de Pascal Laurent tantôt révèle, tantôt cèle. Ça nous regarde. »
Un mois une Expo, Mairie d’Orsay (Essonne)
Octobre 2010
« Nous accueillons pour ce mois d’octobre le peintre PASCAL LAURENT.
Entre toile et papier, à l’acrylique, au pastel ou la gouache, cet artiste multiplie les techniques autant que les sujets et les styles.
La couleur est omniprésente dans ses œuvres. Elle s’allie à la matière par la mise en place de morceaux de cartons soulignant les formes de sa composition.
Son inspiration ? Il la tire du quotidien, de l’humble, du banal qu’il aime transformer sous sa palette de couleurs.
L’ARTISTE
Entre Titien et Poussin, Delacroix et David, l’histoire de l’art reconnaît deux facettes de l’artiste peintre : le coloriste et le dessinateur. Pascal Laurent s’inscrit dans la première filiation, c’est un peintre de la couleur, un coloriste. Autodidacte puis élève d’Henriette
Adriensence pendant une dizaine d’année, il anime par la suite un atelier durant cinq ans. Ses thèmes de prédilection sont enveloppés par sa palette où mélanges et contrastes de couleurs se répondent. Elles donnent à sa création cette alchimie particulière qui crée l’œuvre. Tirant son inspiration des scènes qui l’entourent, il oriente sa démarche vers une recherche continue et passionnée de cette originalité. Le sujet n’est alors plus qu’un prétexte et non la finalité de la toile. A ses yeux, le dernier tableau est toujours l’avant dernier, une inscription dans une expérience inachevée. »
L’EXPOSITION
Cette exposition retrace l’évolution de la démarche de l’artiste. Pascal Laurent a choisi de mettre en lumière ses séries de portraits, de paysages ainsi que des sujets de libre improvisation. Par cette juxtaposition d’un travail résultant d’un investissement de plusieurs années, nous pouvons suivre la manière dont l’artiste construit ses toiles. La couleur est la première facette donnant le ton. Puis, l’artiste choisit les lignes, celles qui quadrillent parfois la toile en sous-tableaux, tentant d’en cumuler plusieurs en un seul. Les matériaux apparaissent alors en carton ondulés et empâtement. Kandinsky et les expressionnistes allemands dont Schmidt-Rottluff font parties des grands maîtres qui inspirent l’artiste. Il aime les couleurs vives et pures de leurs créations. La saisie de l’instant à coups de pinceaux brutes et rapides. La simplicité des mises en scène.
“La peinture, c’est d’abord la couleur et le blanc de la toile. Puis c’est une idée ou un sujet. Ce peut être une idée surgie de la couleur sur le blanc de la toile ou un sujet qui devient prétexte à la couleur sur la toile.
Il existe des sujets qui inspirent… d’autres qui motivent… qui encouragent…” »
Service culturel Mairie d’Orsay
